Figaro, Lasco : quel imbroglio !
Autrice : Cloé Perrotin
Illustratrice : Lunorsola Raffalli Grenat
Coloriste : Emmanuel Grenat
Éditeur : Vous ?
Une histoire de 5954 signes dans un livre (de 56 pages avec les 4 couvertures), qui comprend l’histoire et ses bonus créatifs et pédagogiques.
Lecture fluide et possible à tout âge, même avec lecture d’un tiers.
Il est idéalement pour des lecteurs enfants de 6 à 10 ans.
... mais un très large public peut se l’approprier, puisque c’est un thème parfois abordé au collège.
Il sera apprécié dans les cours d’alphabétisation pour dédramatiser cette étape parfois difficile ou encore dans les écoles à profils particuliers (Montessori, etc) ou les écoles plus classiques.
Il peut également être utilisé en coaching Ressources Humaines (RH) pour aborder/travailler la notion d’objectifs à se fixer et à atteindre ou comment changer d’angle de vue pour palier des difficultés en utilisant les compétences/points forts de chacun.
Figaro le renard a perdu la vue après un coup de fusil. Ses amis et les médecins l'aident à guérir, à marcher et chasser de nouveau. S'il retrouve ainsi une certaine autonomie, grâce à ses autres sens qui se développent, il aimerait retourner à l'école, mais rien n'y est adapté...
Au détour d'un sentier, il comprend qu'un glouton affamé chasse un oiseau. À son propre étonnement puisque d'habitude, c'est aussi une de ses proies possibles, il le sauve. Lasco, l'oiseau lui apprend qu'à cause de son trouble du langage, il n'avait pas pu le prévenir le jour du coup de fusil... L'oiseau pour le remercier, lui propose de l'aider en devenant ses yeux, son guide. Le renard accepte et le dépose à l'infirmerie.
Lasco a besoin d'un protecteur et Figaro d'une aide visuelle. Nos deux compères se lient d'amitié pendant leur entraînement les jours suivants. Après un temps pour s'acclimater en classe, ils deviennent un bon duo et s'entraident mutuellement. Leur autonomie gagnée en expliquant leur différence, la classe et l'école s'est adaptée, les parents sont rassurés... Les commerçants de la forêt et prairie ont également proposé des adaptations astucieuses (cours de prononciation, plaques tactiles en relief en braille, un parcours podotactile pour retrouver son chemin plus facilement, un parcours sensoriel sonore qui est même utile à d'autres enfants) !
Figaro et Lasco découvrent l'entraide et l'amitié.
Un coup de fusil et Figaro le renard perd la vue. Ses amis et les médecins l'aident à guérir et à marcher de nouveau.
S'il retrouve une certaine autonomie grâce à ses autres sens, il aimerait retourner à l'école, mais rien n'y est adapté...
Lasco, l'oiseau a des difficultés à parler. Pour remercier Figaro de l'avoir sauvé d'un glouton affamé, il lui propose de l'aider.
Nos deux compères, arriveront-ils à s'entraider ? Pourront-ils apprendre à avoir confiance (en l'autre et en soi) ?
Leurs idées, donneront-elles envie à d'autres de progresser, d'apprendre et de participer ?
Un renard a perdu la vue, l’oiseau (un plus petit que soit qu'il mange d'habitude) l’aide, tel un chien d’aveugle...
L’entraide, avoir confiance (en soi et en l’autre), l’échange de compétences, inspirer par l’exemple d’autres personnes, le respect, la tolérance, l’empathie, la résilience, etc.
L'amitié, la différence, le handicap (cécité et troubles du langage), l'entraide et la solidarité.
Actuellement, nous prévoyons :
... Ils peuvent être proposés à part du livre pour les enseignants, donc sont facultatifs.
Dans l’idéal ce qui serait bien de laisser dans le projet (mais facultatif aussi) :
... et possibilité de faire un projet avec plus de bonus sur demande.
Permet pour la diffusion du livre de cibler également :
... une des phrases que je répète le plus en utilisant internet comme outil utile pour aider autour de moi : "La vie est plus belle et plus facile en s'entraidant, non ?!" ... bizarrement tout le monde est d'accord. Alors si on s'y mettait tous ?
L'idée m'est venue en dessinant un renard pour une cliente et en découvrant le lendemain cette illustration sur la page de
l'illustratrice Lunorsola Raffalli Grenat que je
connais grâce à son photographe talentueux de mari : Emmanuel Grenat.
J'ai étoffé mes mots et mes idées grâce à mon imaginaire, à des photos et illustrations sur internet ou dans des galeries et expositions, puis j'ai demandé à Lunorsola Raffalli Grenat.
L'illustratrice Lunorsola Raffalli Grenat a répondu "oui". L'aventure commence doucement mais sûrement. Je recommande vivement son travail délicat, poétique un brin magique qui se regarde tout en finesse et douceur.
Mon métier me permet d'être moi-même. J'aime la poésie des images et la magie des mots. On peut réaliser des merveilles avec les images et les mots.
J'aime illustrer, partager et inventer de Belles Histoires ! Qu'est-ce qu'une Belle Histoire? C'est subjectif mais je pense qu'on reconnaît une Belle Histoire au bonheur qu'elle nous laisse une fois qu'on l'a lue ou écrite.
Je devrais poser mon joker ! Que serait le crayon sans la gomme ou l'aquarelle sans la feuille !!! Mais, si je me prête au jeu, je choisirais sans conteste un crayon aquarellable gris anthracite pour pouvoir peindre et dessiner. Pourquoi le gris ? Parce qu'il sublime toutes les couleurs et se suffit à lui-même. Quel talent !
J'aimerais dessiner, ce qui m'inspire : les amoureux et... les villes d'Europe !!! Elles sont si poétiques avec leurs ruelles historiques, leurs ponts, leurs jardins qui débordent des murs et leurs amoureux qui s'y promènent. Sous la neige ou sous la pluie bien entendu !!!! On est toujours plus amoureux sous un même parapluie ou emmitouflés l'un contre l'autre dans une grosse écharpe en laine !!!
Illustrer un livre qui raconte une histoire d'amoureux vivants à Paris, à Londres, Rome ou Amsterdam ...
Quand Cloé m'a fait lire son conte j'ai tout suite compris qu'il s'agissait d'une Belle Histoire. J'ai donc accepté de l'illustrer parce que ce renard plongé dans la nuit m'a touché ainsi que cet oiseau bleu qui l'aide à surmonter son handicap.
Et puis, même si j'adore les oiseaux, j'ai toujours eu un faible pour les renards... Je les trouve émouvants parce qu'ils jouissent d'une mauvaise réputation. Serais-je attirée par les bad boys ???
Question catastrophe ! À une petite bobo-artiste-intello ayant des lunettes et une tignasse rousse - enfin auburn ! - qui serait toujours penchée sur ses dessins ou son ordinateur parce qu'elle adore plus que tout inventer des histoires avec des mots et des dessins ...